dimanche 28 octobre 2012

«L'Etat qui se permet de juger un pianiste pour un simple tweet, est dirigé par un Premier ministre qui fut pourtant lui aussi condamné en son temps pour avoir lu un poème (...) On en reste pantois ! ».

Via Milliyet, quotidien turc, via Courrier International, à propos du procès intenté au pianiste turc Fazil Say pour un tweet reprenant un poème du XIe siècle du poète persan Omar Khayyam.

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