« Il faut en terminer avec l'idée que Google est gratuit (...) La presse permet à Google d'accroître sa prédominance, il est donc normal qu'il y ait une contrepartie pour que nous puissions continuer à développer notre modèle. (...) L'idée n'est pas d'établir une taxe, mais de créer un droit voisin du droit d'auteur. Lorsqu'une radio passe un titre de musique, elle paye des droits d'auteur et, en plus, des droits voisins aux producteurs. C'est logique puisque la radio, grâce à ce titre, vend de la publicité. Le procédé serait le même. »

Nathalie Collin, coprésidente du groupe Perdriel (Nouvel Observateur notamment), présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, à propos de l'idée de la rémunération des sites d'informations par Google et la veille de la visite du président exécutif -Eric Schmidt- de Google à Paris, via le Journal du dimanche du 28/10.